songes d'un art aimé
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le temps de lire , comme le temps d'aimer, dilate le temps de vivre Daniel PENNAC
 
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 Trombinoscope des écrivains

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julie
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julie


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MessageSujet: Trombinoscope des écrivains   Trombinoscope des écrivains Icon_minitimeLun 25 Juil - 20:27

DAN BROWN Trombinoscope des écrivains 14991

Après des études de lettres et d'art au Amherst College et à la Phillips Exeter Academy, Dan Brown s'installe à Hollywood en Californie pour écrire des chansons. Professeur à l'université Philips Exeter, il est le témoin, sur le campus, de l'arrestation par les services secrets américains d'un étudiant qui, pour s'amuser, évoque dans un mail l'assassinat du président Bill Clinton. Dan Brown est impressionné par l'extraordinaire capacité des agences de renseignements à surveiller et observer les individus. Il écrit alors son premier roman, paru sous le titre de 'Digital Fortress', une histoire au coeur de la National Security Agency. L'étude des codes secrets l'a toujours passionné. Pour preuve, le célèbre 'Da Vinci code', son quatrième roman, best-seller mondial. Il sort en 2005 'Anges et démons', une enquête à nouveau menée par le fameux professeur Robert Langdon, personnage désormais célèbre et récurrent. Dan Brown écrit également pour plusieurs revues dont 'Newsweek' et 'The New-Yorker'.


Dernière édition par le Mer 7 Sep - 13:21, édité 1 fois
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marieang
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MessageSujet: Re: Trombinoscope des écrivains   Trombinoscope des écrivains Icon_minitimeMar 26 Juil - 11:38

Patricia CORNWELL
Trombinoscope des écrivains Portrait1
Citation :
Née le 9 juin 1956 à Miami, Patricia Daniels n'a que cinq ans lorsque son père, avocat, abandonne le domicile conjugal. Deux ans plus tard, sa mère, Pat Daniels, déménage avec ses trois enfants pour Montreat, une petite ville de Caroline du Nord. Affaiblie par des problèmes de santé, Pat confie ses enfants à la garde du célèbre prêcheur Billy Graham, dont l'épouse, Ruth, devient une figure tutélaire de la vie de Patricia. La très réticente petite fille se concentre alors sur la seule activité capable à ses yeux de lui faire oublier ses chagrins d'enfant : l'écriture. À neuf ans, Patricia écrit son premier poème, dédié à la mémoire d'Abraham Lincoln et, déjà, consacre plusieurs vers à décrire la blessure à la tête que reçut le président des États-Unis...

La seconde grande passion de Patricia sera le tennis. En 1974, elle rêve de connaître la gloire sur les courts de Forest Hills... En attendant, elle étudie, d'abord au King College de Bristol (Tennessee), puis au Davidson College. Elle fait ses premières armes dans le journalisme au Charlotte Observer, tout en donnant des cours de tennis, une discipline qu'elle abandonne peu après. En 1976, elle rencontre Charles L. Cornwell, un professeur d'anglais de dix-sept ans plus âgé qu'elle, dont elle tombe éperdument amoureuse. Diplômée en 1979, Patricia épouse Charles le 14 juin de l'année suivante. Elle poursuit ses efforts de journaliste, se spécialisant dans les faits-divers criminels, et se découvre une passion pour la recherche des indices, ainsi que pour les armes à feu.

En 1981, Charles Cornwell, qui a décidé de devenir pasteur, s'incrit au séminaire de Richmond, en Virginie, où son épouse l'accompagne. Patricia se tourne alors vers l'écriture. Son premier travail littéraire a pour objet Ruth Graham, à laquelle « Patsy » consacre une biographie (A Time for remembering, Harper & Row, 1983). Après la biographie, Patricia s'essaie au roman policier. Son premier manuscrit est refusé par plusieurs éditeurs, mais elle s'acharne. Elle potasse les reines anglaises du suspense (Agatha Christie, P.D. James...), mais ne se reconnaît pas dans leurs univers et essaie de trouver un style qui lui est propre. Entre-temps, elle a été engagée comme informaticienne à l' Institut médico-légal de Richmond et rencontre Marcella Fierro, qui dirige la morgue, un lieu aussitôt magique aux yeux de Patricia. Le docteur Fierro lui inspire un personnage du roman qu'elle a décidé d'entreprendre. Le premier livre mettant en scène une Kay Scarpetta encore reléguée au second plan de l'action circule auprès des éditeurs alors que le mariage de Patricia est en train de sombrer. Les Cornwell divorcent à l'amiable en 1988.
Peu après, la jeune romancière met un point final à Postmortem, publié chez Scribner's en 1990, qui impose Kay Scarpetta comme la première femme médecin légiste de l'histoire du polar. Fait exceptionnel et encore inégalé, ce livre rafle cette même année tous les grands prix anglo-saxons du roman policier : le Dagger Award, le Macavity Award, l'Anthony Award et le très envié Edgar Poe Award. En 1992, la France le couronne Prix du roman d'aventures, récompensant une Américaine pour la première fois.

Dès lors, au rythme d'un roman par an, Patricia amorce une carrière qui ressemble à un parcours sans faute. Elle a tiré un trait sur son passé, sans pour autant quitter Richmond qui reste le cadre de la vie tumultueuse de son héroïne, bientôt célèbre, comme elle-même, dans le monde entier. En 1993, elle reçoit la consécration anglaise suprême: le Gold Dagger Award, pour la première fois décerné à une Américaine.
Convaincue dès son plus jeune âge qu'il faut savoir donner à la mesure de ce qu'on reçoit de la vie, Patricia Cornwell finance une bourse portant son nom, réservée aux étudiants particulièrement doués pour l'écriture, au Davidson College de Caroline du Nord, où elle a obtenu son diplôme. En 1997, elle fait don de un million de dollars à cette même université et de un million de dollars à la fondation Barbara Bush, qui lutte contre l'illétrisme aux États-Unis. En 1999, une partie des bénéfices de Cadavre X sont reversés au Jameson (Virginia)Rediscovery archeology project, pour son site de fouilles du plus vieux fort américain datant de la première moitié du XVIIe.
Mais c'est à l'institut médico-légal de Richmond que Patricia Cornwell a accordé sa contribution la plus remarquable. En 1999, elle a activement participé à la création d'une université novatrice, la première dans son genre aux États-Unis, destinée à former des médecins légistes et des pathologistes, le Virginia Institute of Forensic Science and Medecine. Patricia Cornwell a fait don de un million et demi de dollars, mais s'est aussi battue pour impliquer dans le projet les plus grands pathologistes et scientifiques, afin que cet institut devienne l'équivalent en médecine légale des plus grandes universités de médecine américaines.
Aujourd'hui, Patricia Cornwell partage son temps entre Richmond et New York. Elle dirige Cornwell Entreprises, Inc. qui s'occupe de son œuvre, de sa carrière et qui gère ses donations.

Patricia Cornwell a cédé en août 2000 les droits cinématographiques de la série Kay Scarpetta à Sony Pictures, et devrait être impliquée dans le film que Sony va préparer à Los Angeles. Elle a également un projet pour la télévision au printemps. Elle vient de terminer le nouveau Virginia West et commence à travailler au prochain Kay Scarpetta.

Son site français : http://www.pcornwell-france.com
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julie
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MessageSujet: Re: Trombinoscope des écrivains   Trombinoscope des écrivains Icon_minitimeMer 7 Sep - 13:24

Maurice G.DANTEC

D'une famille un temps communiste, avec un père journaliste et une mère couturière, il passe la majeure partie de son enfance à Ivry-sur-Seine, dans la banlieue « rouge ». À l'âge de 5 ans, de violentes crises d'asthme vont éveiller en lui une angoisse morbide, qu'il tentera des années plus tard de calmer par un usage très éclectique des drogues. En 1971, il entre au lycée Romain-Rolland, où il rencontre Jean Bernard Pouy, futur créateur du Poulpe, qui fait naître chez lui l'attirance vers la littérature noire américaine de l'époque. Très tôt, il devient également un fervent lecteur de Nietzsche et Gilles Deleuze. À la fin des années 1970, une fois le bac en poche, il débute des études de lettres modernes qu'il abandonne vite pour fonder un groupe de rock du nom d'« État d'urgence ». Durant les années 1980, il continue ses aventures musicales tout en travaillant en tant que rédacteur de publicité. C'est vers le début des années 1990 qu'il se met sérieusement à l'écriture. Il rédige en 1992 son premier roman, qui paraît en 1993 sous le titre La sirène rouge dépassant de très loin le nombre de pages généralement autorisé par le cahier des charges de la très stricte collection « Série noire ». Il remporte d'ailleurs le trophée 813 du meilleur roman policier.

L'engagement de Dantec dans la guerre du Kosovo aura un impact décisif sur sa vision pessimiste de la politique menée par l'ONU, au même titre que l'Europe et la France en particulier, et qui expliquera son exil par la suite. Il critique notamment la position "morale" de non-intervention de l'ONU. A noter que Dantec, du côté des Bosniaques, avoue avoir pensé a se convertir à l'Islam durant cette periode.
Trombinoscope des écrivains Dantecgd
Dantec récidive en 1995 en publiant un roman noir à la limite du cyberpunk : Les racines du mal qui remporte un franc succès auprès du public, ainsi que le Grand Prix de l'Imaginaire et le Prix Rosny aîné. La même année, il offre aux lecteurs du Monde une novella, cette fois dans le pur esprit cyberpunk : « Là où tombent les anges »

Dantec décide en 1997 de s'expatrier avec femme et enfant vers le Québec, d'où il publie en 1999 son troisième roman Babylon Babies, qui s'inscrit dans la lignée de sa précédente nouvelle : apocalyptique et cyberdécadent. Avec ce roman, l'œuvre de Maurice Dantec devient plus controversée. De nombreux lecteurs sont déçus par la fascination pour les drogues déjà présente dans la Sirène rouge et la violence urbaine des gangs qui apparaît cette fois dans le roman non plus comme arrière-plan mais comme objet même du roman.

Le théâtre des opérations, journal métaphysique et polémique, publié en 2000, s'apparente davantage à un pamphlet adressé aux technocrates qui nous gouvernent qu'à un roman. En 2001, Dantec nous livre la suite de ses réflexions dans Laboratoire de catastrophe générale présenté sous la forme d'un journal.

En août 2002 est sortie au cinéma l'adaptation du premier roman de Dantec : La sirène rouge, avec Jean-Marc Barr.

Dans le courant de l'année 2003 sortent deux œuvres : Périphériques qui est un recueil d'essais et de nouvelles, et un roman, Villa vortex, qui se veut selon l'auteur le premier tome d'une trilogie sur les rapports entre l'homme et la machine. Ce dernier roman n'a pas rencontré l'écho favorable auprès de ses lecteurs, trop long, trop abscon, mêlant le vocabulaire et la philosophie déjà entreprise dans les volumes du Théâtre des opérations avec la violence habituelle de ses romans.

En outre, suite à cette déception éprouvée par certains de ses lecteurs vis à vis de ses derniers écrits, s'est ajouté une polémique initiée par certains médias et certains journalistes de gauche lorsque Dantec a laissé publier certaines de ses lettres sur le site Web du Bloc Identitaire ; ce qui a conduit ses détracteurs à le calomnier en l'accusant de se « rapprocher » de l'extrême droite. Lui-même précise que son point de vue sur l'Amérique et Israël est opposé à celui des identitaires. Ces lettres ont pour but un débat constructif, surtout avec des personnes avec lesquelles il est en désaccord.

En entrevue, il défend ouvertement le rétablissement de la peine de mort au Canada, tout en se distanciant des politiciens de droite comme Stockwell Day ou George W. Bush. Récemment, Maurice G Dantec s'est prononcé pour le "non" au référendum du 29 mai sur le projet de constitution européenne. Dernièrement, dans ses chroniques, il s'est interrogé sur l'existence d'une droite au Québec, et s'appuie sur la lecture des textes de Robert Rumilly pour tenter d'apporter une réponse.

Le baptême de Dantec et sa conversion a la foi catholique sont généralement associées à ses prises de positions controversées, qu'il convient cependant de séparer avec prudence.

Son prochain essai, la suite du Laboratoire de catastrophe générale, aurait dû sortir en janvier 2005 sous le titre d'American Black Box, mais l'éditeur Flammarion s'est vu retiré le projet au profit d'Albin Michel. Le livre devrait tout de même être publié chez un autre éditeur en janvier 2006 (source : [1]). Dantec collabore avec la revue Égards, revue francophone et conservatrice d'Amérique du Nord. Enfin, le roman Cosmos Incorporated est sorti chez Albin Michel le 25 août 2005.
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